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Par T535345, le 23.08.2025
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Date de création : 06.07.2007
Dernière mise à jour :
23.02.2020
276 articles
L'ouragan Irène a frappé samedi matin comme prévu la côte américaine au niveau de la Caroline du Nord et commence à remonter vers le nord, le long de la côte Est, alors que des centaines de milliers d'Américains évacuent les zones inondables ou se calfeutrent chez eux.
A 11 heures (17 heures à Paris), l'ouragan de catégorie 1 sur une échelle qui en compte 5, se trouvait à 80 km à l'ouest de Cap Hatteras et se déplaçait vers le nord-est à 24 km/h, avec des vents allant jusqu'à 140 km/h, selon le centre national des ouragans américains (NHC).
» INFOGRAPHIE - Visualiser la puissance destructrice d'un ouragan
A 12h30 (18h30 à Paris), les services d'urgence faisait état d'au moins deux morts. Un homme est mort d'une crise cardiaque dans le comté d'Onslow alors qu'il installait des planches de bois sur ses fenêtres tandis qu'un autre est décédé dans la nuit dans le comté Pitt, après que sa voiture a dérapé sur la chaussée détrempée et percuté un arbre. Par ailleurs, les services de secours du comté New Hanover ont indiqué qu'un homme était tombé à l'eau tôt samedi matin dans la rivière Cape Fear près de Wilmington. Les autorités ont indiqué «ne pas savoir à ce stade si l'homme a été poussé ou emporté» par les eaux. Dans la soirée, les services de secours ont également annoncé qu'un enfant de onze ans a été tué en Virginie par la chute d'un arbre sur son immeuble.
Pluies fortes et rafales de vents importantes s'abattent en ce moment-même sur la Caroline du Nord, où des arbres ont été arrachés, des autoroutes fermées.
A 16h30 heure locale (22h30 heure de Paris), les compagnies d'électricités faisaient état de 877.000 coupures d'électricté.
Sur Kill Devil Hills, personne ne s'aventurait dehors et il était difficile de croiser une voiture sur les routes. De nombreux bâtiments avaient été préventivement recouverts de panneaux en bois.
A Baltimore, dans le quartier commercial Fells Point de Baltimore (Maryland, près de Washington), au niveau du port, des sacs de sable étaient distribuées pour calfeutrer maisons et commerces, comme dans plusieurs autres villes de la cote Est. A Washington, des habitants ont fait des réserves d'eau, de lampes ou de générateurs électriques dans les supermarchés. Barack Obama, qui a écourté ses vacances et regagné Washington vendredi soir, a appelé ses concitoyens à prendre l'ouragan «au sérieux».
La base navale de Norfolk, la plus grande au monde, a déplacé ses navires en mer, où ils risquent moins de dommages. En raison de la taille exceptionnelle de l'ouragan, qui présente des conditions cycloniques sur un rayon de 150 km et des vents puissants sur plus de 460 km, le NHS craint une importante montée des eaux dans les zones côtières. Certaines villes des États de la zone Mid Atlantic, comme Norfolk, Baltimore, Ocean City, New York, voire Boston pourraient être inondées. Les sols de la région sont déjà saturés d'eau après d'importantes pluies au cours de l'été. La National Oceanic and Atmosperic Administration (NOAA) prévoit 12 à 24 cm de précipitations tout le long de la côte Est ce week-end.
Dans le New Jersey (côte nord-est des Etats-Unis), plus d'un million de personnes ont été évacuées des zones côtières, a indiqué le gouverneur de l'Etat Chris Christie dans une conférence de presse. La petite ville de Cap May, directement située sur la trajectoire d'Irène, a été désertée, avec 98% de sa population évacuée, a-t-il dit.
Irène doit longer la côte Est samedi et dimanche vers Washington, New York et Boston, une des régions les plus peuplées au monde avec 65 millions d'habitants, et pourrait s'accompagner de vagues de 3 à 4 mètres de haut, selon le NHC.
» Ouragan Irene : New York se prépare au choc
De Caroline du Nord jusqu'au Massachusetts, les autorités ont décrété l'état d'urgence ou lancé des alertes à l'ouragan, et des dizaines de milliers de personnes ont reçu l'ordre de s'éloigner des côtes, dont 370.000 à New york.
Echaudées par l'ouragan Katrina qui avait durement frappé la Nouvelle-Orléans en 2005, les autorités craignent les dégâts, qui pourraient coûter de 5 à 10 milliards de dollars, selon la dernière estimation des experts de Kinetic Analysis, un cabinet qui développe des modèles informatiques sur les éventuels dégâts provoqués par les intempéries. «Nous n'avons pas connu une telle menace d'ouragan depuis des décennies», a déclaré Chris Vaccaro, porte-parole des services météorologiques.
Véritable «monstre», Irène a un diamètre de 820 km environ, soit l'équivalent de près d'un tiers de la longueur totale de la côte Est américaine (2.675 km), selon une estimation de la Nasa faite vendredi à partir de satellites.
L'ouragan Irene est le neuvième phénomène météorologique de grande ampleur à parcourir la zone Atlantique-Nord depuis le début de l'année. Le précédent, Harvey, début août, était resté une tempête tropicale. Irene est, depuis quelques jours, classé comme ouragan et a déjà fait 5 morts en traversant les Caraïbes. Le Centre national des ouragans (NHC), basé à Miami, prévoyait pour 2011 (jusqu'en octobre) une année «moyenne» avec 11 tempêtes tropicales, 6 ouragans et deux ouragans majeurs.
Si les prévisions de trajectoire de ces immenses masses d'air tourbillonnantes (de 500 à 1000 km de diamètre) au-dessus de l'océan sont maintenant plutôt fiables - la connaissance de la température de l'eau qui «nourrit» la force de la tempête est un facteur clé tout comme le niveau de pression atmosphérique -, les prévisions de leur trajet lorsqu'elles touchent terre sont beaucoup plus délicates à établir. L'ouragan peut, presque à son bon plaisir, se renforcer ou diminuer d'intensité. Le NHC s'est d'ailleurs refusé, au moment d'établir ses prévisions avant la saison des cyclones, à émettre des avis sur la question.
Irene a plusieurs particularités: «née» le 15 août, d'une onde dépressionnaire venue d'Afrique qui a traversé l'Atlantique, cette tempête est la première de l'année à gagner les «galons» d'ouragan dans cette région du monde. De plus, ce phénomène est l'un des rares à monter vers le nord pour gagner le cap Hatteras et New York. Le dernier ouragan à l'avoir fait est Gloria, en 1985. Samedi, Irene a été rétrogradé de catégorie 2 en catégorie 1 sur l'échelle de Saffir-Simpson, qui en compte cinq, avec des vents de 150 km/h. Il devrait atteindre New York dimanche.
La prochaine tempête tropicale de l'Atlantique-Nord s'appellera Jose, la suivante Katia. Tout le monde espère que l'on ne verra pas le 21e prénom, Whitney, choisi par un comité piloté par l'Organisation météorologique mondiale. En 2012, la première tempête tropicale sera nommée Alberto, suivi de Beryl, puis de Chris… La série d'appellations est prête jusqu'en 2016.
Les Etats-Unis sont sur le pied de guerre, alors que l'ouragan Irene a frappé la côte Est ce samedi. Neuf états ont été placés en état d'urgence et des centaines de milliers de personnes ont reçu l'ordre de s'éloigner des côtes. La Caroline du Nord a été le premier état touché par les intempéries.
Ailleurs dans le pays, sur la trajectoire de l'ouragan, on continue de se préparer.
Dans un message radiodiffusé, le président Barack Obama a appelé ses compatriotes à prendre Irène «au sérieux». «Si vous vous trouvez sur la trajectoire prévue de l'ouragan, vous devez prendre des précautions dès maintenant», a déclaré M. Obama depuis sa résidence de vacances dans le Massachusetts (nord-est). Et «si vous recevez l'ordre d'évacuer, je vous prie d'obtempérer».
Les ouragans
Définition
Cyclone
Tempête caractérisée par le mouvement giratoire convergent et ascendant du vent autour d'une zone de basse pression. Il s'agit d'un système météorologique pouvant s'étendre sur plusieurs centaines de kilomètres. Un ouragan peut durer des semaines et parcourir des milliers de kilomètres. Un Lorsqu'il parvient à maturité, il devient ouragan.
Tornade
Système météorologique très compact et localisé. Perturbation atmosphérique tourbillonnante de petite dimension mais très intense et destructrice qui dure au plus quelques heures.
Ouragan
Système météorologique représentant un cyclone rendu à sa maturité. Il faut savoir aussi que le centre d'un ouragan (aussi appelé oeil) n'est pas nécessairement une tornade.
Introduction
L'ouragan est une puissante tempête qui engendre des vents extrêmement rapides. L'ouragan est un cyclone (dépression) de très forte intensité. Il abrite parfois des centaines d'orages et peut s'étendre sur des centaines de kilomètres. Lorsque l'ouragan atteint le continent, il engendre des pluies torrentielles qui inondent villes et villages. Les cyclones de très grande intensité sont appelés ouragans en Amérique du Nord et dans les Caraïbes.
Les ouragans portent tous des prénoms différents, comme l'ouragan John, l'ouragan Andrew, l'ouragan Denise, etc.
Plusieurs démarches ont été successivement adoptées pour nommer chacun des ouragans. Il y a très longtemps, ils étaient nommés en l'honneur du saint du jour. Par la suite, ils portèrent le nom de politiciens et de leur femme. On en est finalement arrivé, en 1979, à établir une liste de prénoms masculins et féminins, anglais, français et espagnols, en alternance.
Les noms utilisés reviennent à tous les 6 ans. Toutefois, il arrive que certains noms soient retirés dans le cas où il représente un ouragan particulièrement dévastateur. C'est en particulier le cas de Frédéric en 1979 et Joan en 1988.
Les ouragans sont des systèmes météorologiques d'une rare intensité. On parle d'ouragan lorsqu'une dépression amène des vents de plus de 115 km/h. Une dépression avec des vents de 61 km/h ou plus est nommée tempête tropicale alors qu'à des vents de 36 km/h ou plus elle porte le nom de dépression tropicale.
les ouragans peuvent produire plusieurs tornades lors de leur passage ce qui les rend encore plus dévastateurs. L'on pourrait croire que le centre (l'oeil) de l'ouragan est une énorme tornade. Ce n'est pas le cas. L'oeil peut atteindre plusieurs dizaines de kilomètres alors que les tornades ne dépassent généralement pas 1000 mètres de diamètre.
Comment et où se forment les ouragans?
Les ouragans proviennent des zones tropicales et sous tropicales partout autour du globe, là où l'humidité et la chaleur sont à leur maximum. Le graphique suivant présente à l'aide de flèches rouges les trajets moyens qu'emprunte la plupart des ouragans.
Pour l'observateur, l'approche d'un ouragan se manifeste par l'arrivé de cirrus très épais qui envahissent le ciel. Les cirrus font ensuite place à des cirrostratus puis des altostratus. Ensuite viennent les cumulus congestus donnant des averses. Ces dernières ne sont pas répartis également autour de l'ouragan. Les averses se présentent sous forme de bandes dans les spirales de l'ouragan.
Quelques chiffres
Les ouragans sont des dépressions de forme presque circulaire de dimension plutôt réduite (beaucoup plus petite qu'une dépression moyenne).
Le point central d'un ouragan est appelé l'oeil. Dans cette zone règne le calme presque plat (vent d'environ 30 km/h). Près de ce centre (environ 40 km) les vents sont à leur maximum c'est à dire environ 270 km/h avec des rafales allant jusqu'à 350 km/h.
L'origine des vents violents dans les ouragans est la grande différence de pression.
Entre le centre et l'extérieur de l'ouragan la différence de pression peut être de 10 kPa dans de rares cas mais de 5 kPa en moyenne.
Classification des ouragans
Elle se fait à l'aide de l'échelle de Saffir-Simpson.
Type d'ouragan | Caractéristiques |
Catégorie 1 | Quelques dommages mineurs sur les maisons mobiles et les quais. |
Catégorie 2 | Dommages majeurs aux maisons mobiles et déracinement des plantes. |
Catégorie 3 | C'est au tour des gros arbres d'être déracinés. Toits, fenêtres et portes seront endommagés. |
Catégorie 4 | Aucune maison mobile n'y survivra. Dommages importants aux sous-sols des maisons. |
Catégorie 5 | Destruction des grands édifices. Effondrement de plusieurs toits. Dommages très très importants. |
Le plus grand danger lorsqu'un ouragan touche terre après un parcours au-dessus de la mer est la marée de tempête. Un monticule d'eau se forme sous le centre de l'ouragan, où l'eau est soulevée par aspiration. Au-dessus de l'océan, cette bosse est à peine visible, mais elle grossit à mesure que le cyclone se rapproche des côtes. C'est seulement lorsqu'elle touche les côtes que l'eau envahit les terres et fait des dégâts inimaginables!
LeParisien.fr
L'ouragan Irène qui a commencé à frapper samedi la côte est américaine, a fait trois morts et entraîné l'évacuation d'yn million et demi de personnes, pluies torrentielles et vents violents provoquant coupures d'électricité, annulations de vols et routes barrées.
Deux personnes sont mortes en Caroline du Nord et un enfant de onze ans a été tué par la chute d'un arbre sur son immeuble en Virginie, selon les services de secours.
Dans le New Jersey (côte nord-est des Etats-Unis), plus d'un million de personnes ont été évacuées des zones côtières, a indiqué le gouverneur de l'Etat Chris Christie dans une conférence de presse. La petite ville de Cap May, directement située sur la trajectoire d'Irène, a été désertée, avec 98% de sa population évacuée, a-t-il dit.
L'ouragan doit atteindre le New Jersey et New York dans la nuit de samedi à dimanche.
A New York, où 370.000 personnes ont été évacuées, des milliers de vols ont été annulés et tous les réseaux de transport de métro et de bus de la ville ont été suspendus samedi, une opération sans précédent.
Les aéroports de la région, J.F. Kennedy, Newark et La Guardia, ont aussi été fermés à la mi-journée. Les autorités n'ont pas précisé quand ils rouvriraient.
De nombreuses compagnies aériennes comme British Airways, Air France, American Airlines, Continental et d'autres transporteurs asiatiques, ont annulé leurs vols en provenance et à destination de New York, de Washington et d'autres villes de la côte Est du pays.
Le service ferroviaire a aussi été diminué et la compagnie Amtrack prévoit de suspendre tout le trafic sur la côte Est dimanche.
Touristes et New Yorkais ont afflué samedi dans les centres d'accueil mis en place à New York, désemparés mais rarement inquiets.
"C'est bien organisé, et ce n'est pas un tsunami", a indiqué Philippe Kridelka, directeur du bureau de l'Unesco à New York, venu avec sa famille.
Harry Poalakakos, propriétaire du Harry Cafe dans le quartier de Wall Street, préfère rester dormir dans son café. "Il y aura beaucoup de vent, beaucoup d'eau. C'est tout. Cela arrive. Nous survivrons", dit-il à l'AFP.
A 14H00 heure locale (18H00 GMT), l'ouragan de catégorie 1 sur une échelle qui en compte 5, se trouvait à 70 km au nord-ouest de Cap Hatteras Caroline du Nord) et se déplaçait vers le nord-est à 20 km/h, avec des vents allant jusqu'à 140 km/h, selon le Centre national des ouragans américains (NHC).
En Caroline du Nord, le premier état américain touché par l'ouragan, et dans la Virginie voisine, près de 900.000 foyers étaient privés d'électricité, selon un décompte des compagnies électriques, alors que les chaînes américaines passent en boucle les images de rues inondées et de maisons barricadées.
Irène doit longer la côte Est samedi et dimanche vers Washington, New York et Boston, une des régions les plus peuplées au monde avec 65 millions d'habitants, et pourrait s'accompagner de vagues de 3 à 4 mètres de haut, selon le NHC.
Sur l'autoroute entre Washington et New York, la pluie est battante. Sur les côtés, à intervalles réguliers, des tableaux lumineux indiquent : "Alerte à l'ouragan, soyez prêts", a constaté un journaliste de l'AFP.
Le président américain Barack Obama s'est rendu samedi matin dans un centre de crise à Washington: "Vous faites un magnifique travail, cela se voit", a lancé le président aux personnes y travaillant.
M. Obama s'est à cette occasion entretenu avec des responsables nationaux et locaux de secours: "Ca va être dur d'en finir avec tout ça", a-t-il dit, "ça va être 72 longues heures. C'est évident, beaucoup de familles vont être touchées".
Les autorités craignent les dégâts qui pourraient coûter de 5 à 10 milliards de dollars, selon des estimations d'experts.
L'ouragan avait légèrement faibli samedi matin, avec des vents de 140 km/h au lieu des 160 km/h enregistrés dans la nuit, passant ainsi en catégorie 1, la plus basse sur l'échelle de Saffir-Simpson qui en compte cinq, soit des vents compris entre 119 et 153 km/h.
"Nous n'avons pas connu une telle menace d'ouragan depuis des décennies", a déclaré à l'AFP Chris Vaccaro, porte-parole des services météorologiques.
Véritable "monstre", Irène a un diamètre de 840 km environ, soit l'équivalent de près d'un tiers de la longueur totale de la côte Est américaine (2.675 km), selon une estimation de la Nasa faite samedi à partir de satellites.
Le nord-est des Etats-Unis échappe habituellement à ces dépressions. Gloria, en 1985, est le dernier ouragan à avoir touché New York.
"Cela va être un très long week-end pour les habitants" de la côte Est, a conclu M. Vaccaro
Face à la multiplication des rumeurs de fin du monde concernant la comète Elenin, la NASA a décidé de publier les plus populaires et d'y répondre point par point.
La comète à 35 millions de km
Découverte le 10 décembre 2010 par le Russe Leonid Elenin, la comète s'approche du Soleil et « frôlera » la Terre le 16 octobre prochain. Elle sera alors à 35 millions de kilomètres de nous, soit 90 fois la distance Terre-Lune. C'est bien trop éloigné pour avoir un quelconque impact sur la Terre, expliquent les chercheurs Don Yeomans du Jet Propulsion Laboratory en Californie et David Morrison du Ames Research Center.
Une comète banale
news/news.cfm?release=2011-255" target="_blank">Selon eux, la comète Elenin est également bien trop petite pour éclipser la lumière du Soleil pendant trois jours, d'autant qu'elle ne passera pas entre nous et le Soleil. Et si dans les derniers mois, certains ont affirmé sur Internet qu'il s'agissait en fait d'une naine brune, c'est tout simplement faux. Enfin, si la NASA en parle très peu, ce n'est pas qu'elle cache quelque chose, c'est simplement que la comète Elenin n'a rien d'exceptionnel, plusieurs de ce type sont découvertes chaque année.
Ainsi, le 16 octobre prochain, il ne se passera rien de plus que tous les autres jours de l'année.
Elenin la rumeur
Si vous voulez en savoir plus sur la comète Elenin et sur les autres rumeurs de fin du monde qui font fureur à l'heure actuelle, si vous voulez comprendre pourquoi elles sont si populaires et trouver les bons arguments pour les remettre à leur place, la meilleure solution est sans doute de vous précipiter sur le dossier spécial « rumeurs » dans le numéro du mois d'août de Ciel et Espace, toujours disponible chez votre marchand de journaux.
Une comète dans le ciel d'été
En attendant la comète Elenin, vous pouvez toujours en observer une autre, appelée Garradd, qui passe actuellement dans le Triangle d'été. Visible avec une paire de jumelles comme une petite étoile floue (sa magnitude est de 7), elle est à repérer ces jours-ci entre les Dessin d'étoiles aléatoire dans le ciel nocturne produit par des alignements d'étoiles de différentes luminosités, et située à des distances différentes. Il y a 88 constellations - 48 étaient connues des anciens Grecs, et les 40 autres ont été ajoutées après 1600.">constellations du Dauphin et du Petit Renard.
Benoît Rey, le 17 août 2011
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Chaque année martienne, des ruisseaux se formeraient dans des cratères de la planète rouge, à la fin du printemps. C'est le résultat d'observations réalisées sur les images de la sonde Mars Reconnaissance Orbiter pendant trois années martiennes successives (environ cinq ans et demi terrestres) : des chercheurs américains y ont relevé plus d'un millier de traces qui apparaissent puis s'évanouissent selon le cycle des saisons !
Des ruissellements connus depuis 2000
Ces « sources » naissent sur les flancs internes de cratères d'impact, mesurent entre 50 cm et 5 m de large, et s'étendent jusqu'à plusieurs centaines de mètres vers le fond des cratères ! Bref, elles ont tout l'air de petits ruisseaux.
Ce n'est pas la première fois qu'une telle annonce est faite. En 2000, les images de la précédente sonde, Mars Global Surveyor, avaient déjà révélé ces trainées alors baptisées « gullies ». Alors qu'on savait déjà que de l'eau avait coulé en grande quantité sur le sol de la planète rouge après sa formation, les gullies semblaient ne dater que de quelques milliers, voire centaines d'années !
Une eau liquide très éphémère
Un scénario a alors été imaginé : lorsqu'une météorite s'écrase sur la surface, elle creuse un trou qui dévoile les strates du sous sol martien. Celui-ci contiendrait de la glace, qui mise au jour, ne serait plus protégée du soleil par la poussière du sol. Au lieu de passer directement de l'état solide à l'état gazeux, elle resterait liquide un petit moment, s'écoulerait vers le fond du cratère avant de s'évaporer. En effet, si la température sur Mars approche zéro degré celsius, elle ne peut pas être liquide à l'état pur... sauf si elle contient beaucoup de sels minéraux qui baissent son point de fusion !
Tiré par les cheveux ? A l'époque en effet, deux autres hypothèses sont avancées, qui sont jugées au moins aussi crédibles.
- les traces seraient en effet des écoulements, mais de sable sec, et non pas d'eau.
- le CO2 du sol, en se sublimant provoquerait des avalanches de cailloux.
Sans compter l'existence de traces ressemblantes sur la Lune, dont on est absolument certain qu'elles n'ont pas été formées par de l'eau liquide !
Des « sources » saisonnières
Toutefois, l'année 2008, puis début 2011 redonnent du crédit au scénario des gullies : de la glace existe bel et bien dans le sous sol martien !
Aujourd'hui, c'est le caractère saisonnier du phénomène qui a été mis en évidence.
- Certaines traces apparaissent à la fin du printemps martien, s'allongent sur quelques centaines de mètres, puis s'évanouissent quand vient l'automne.
- Elles occupent principalement les faces des cratères les plus exposées au Soleil.
- Elles n'apparaissent pas préférentiellement dans les zones les plus poussiéreuses (ce qui aurait favorisé l'hypothèse des avalanches).
Ces arguments convergent vers l'eau liquide. Mais certaines questions restent en suspens, comme justement le mystère de la disparition des traces elles-mêmes à chaque automne...
Benoît Rey, le 5 août 2011
document ciel et espace
L'objet volant est identifié. C'était un « bolide », météorite de plus de 100 g rentrant dans l'atmosphère. Le phénomène observé par de nombreux témoins ce mardi autour de 3 h 30 dans le ciel a été décortiqué par le Geipan, le très sérieux groupe d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (CNES-Toulouse).
« Le mardi 2 août 2011, entre 3 h 27 et 3 h 35 du matin, plusieurs dizaines de témoins ont observé un ciel subitement éclairé comme en plein jour, suivi d'un objet, souvent décrit de couleur vert/bleu faisant un passage de 4 à 5 secondes », note le Geipan. « Certains d'entre eux ont également entendu une ou deux explosions, quelques secondes après le passage du phénomène. Quelques-uns relatent une fragmentation ».
La cinquantaine de témoins localisés sur une grande région sud (Ariège, Aveyron, Aude, Gironde, Haute-Garonne, Tarn, Tarn-et- Garonne) qui ont contacté le Geipan ont fourni des indications précises sur cette observation : « Les données préliminaires ainsi recueillies indiquent une trajectoire orientée nord sud, avec un décalage léger d'est en ouest », précise le Geipan : « Le bolide semble avoir terminé sa course dans une zone triangulaire Andorre/Carcassonne/Perpignan ».
Un bolide est un « phénomène produit par la rentrée dans l'atmosphère d'une « grosse » météorite (de plus de 100 g, c'est-à-dire de quelques centimètres à 1 m) : ce qui produit une grosse traînée lumineuse, capable d'illuminer le paysage pendant plusieurs secondes, avec quelquefois un sifflement, voire un bang semblable aux bangs supersoniques. La couleur peut varier selon la composition de la météorite ; des débris peuvent arriver au sol », selon le Geipan, qui continue son étude du phénomène.
Le phénomène aérospatial observé mardi 2 août autour de 3 h 30 dans le ciel toulousain et de tout le sud-ouest a continué de susciter hier de nombreuses réactions. Des commentaires qui nécessitent quelques précisions. La nuit de lundi à mardi, il n'y a eu aucun orage ni foudre dans notre région. À cette heure, il n'y avait pas d'avions. L'hypothèse d'une météorite, entrée de débris ou de caillou dans l'atmosphère, retenue par le Geipan, ne se traduit pas forcément par un impact au sol, nombre de ces projectiles terminant leur course dans la mer et certains se décomposant en l'air, avec des retombées minimes au sol. OVNI veut dire objet volant non (pas encore) identifié, pas soucoupe volante ou ET (extraterrestre).
Sur le graphique l'année 2011 a été découpée en mois sur lesquels des barres colorées visualisent les périodes d'activité des essaims du tableau ci-dessus. Pour les essaims dont l'activité coure sur plusieurs mois des flèches signalent la continuité de l'activité. La date du maximum de l'activité de l'essaim concerné est matérialisée par une étoile. Enfin, les dates des phases lunaires ont été rappelées